Comme vous avez pu le voir sur de nombreuses publications Instagram, j’arbore très fièrement depuis quelques semaines des vêtements de la marque XQZ My French.
XQZ My French c’est un mélange subtil de streetwear et de sportswear avec un concept bien précis : permettre aux nouvelles générations d’exprimer leur personnalité propre au-delà du mimétisme de la mode, en développent des collections uniques et personnalisables.
La marque a été créée par le célèbre producteur de musique X-Cell, basé à Los Angeles, en collaboration avec le fashion designer Nicolas Tignères qui a passé plus de 10 années chez Bullrot. C’est le désir de fusionner le monde de la musique et le monde de la mode qui a poussé ces deux amis de longue date à créer leur propre univers. D’un point de vue savoir-faire, XQZ My French maîtrise tous les procédés : du stylisme à la sublimation jusqu’à la fabrication.
La marque XQZ My French a développée deux collections bien distinctes :
Une collection étendard « expression »
Elle s’inspire du nom de la marque XQZ My French qui signifie en anglais « excusez-ma vulgarité » et décline toute une série d’insultes sérigraphiées destinées à marquer les esprits.
La collection « expression » par sérigraphie, offre un côté décalé à ceux qui portent ces tee-shirts. En effet, chaque pièce affiche avec une vulgarité volontairement assumée des insultes qui attirent le regard. À chaque insulte son humeur, à chaque émotion son insulte.
Une collection réellement street appelée « FW »
Déclinée en une gamme « street LA » et une gamme « Napoléon », toutes les deux avec un grade de qualité supérieur. « FW Napoléon » souhaite faire ressortir le côté français avec Napoléon et son expression « impossible n’est pas français ». Phrase présente par exemple sur cette casquette.
Merci à Sophie pour son super accueil ! Vous pouvez retrouver les vêtements XQZ My French sur leur site internet : et avec le code DECOUVERTEXQZ bénéficiez de 10% de réduction sur l’ensemble du site.
Tendances-Blook précurseur des tendances !! Bon shopping 🙂
François Cortes
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